Des cartes adaptées
Les cartes d'initiation pour les enfants doivent permettre un aller-retour entre la représentation imagée de la carte et la réalité. La carte pour les tous petits doivent autoriser une construction topologique des éléments entre eux: Cette carte peut donc être construite depuis des photographies prises par les plus jeunes ou par des maquettes faisant ressortir les propriétés des éléments entre eux: "ce que je cherche est devant, derrière, entre ..."
Le projet sans doutes le plus original dans son approche de la cartographie est le projet Scool , un projet suisse de développement des activités d'orientation pour les enfants du primaire. Le site propose outre une présentation du projet, de la documentation sous forme de fiches de travail, une version limitée de Ocad 7 avec des symboles prédéfinis pour les cartes pour enfants.
Les cartes d'initiation pour les enfants doivent permettre un aller-retour entre la représentation imagée de la carte et la réalité. La carte pour les tous petits doivent autoriser une construction topologique des éléments entre eux: Cette carte peut donc être construite depuis des photographies prises par les plus jeunes ou par des maquettes faisant ressortir les propriétés des éléments entre eux: "ce que je cherche est devant, derrière, entre ..."
Le projet sans doutes le plus original dans son approche de la cartographie est le projet Scool , un projet suisse de développement des activités d'orientation pour les enfants du primaire. Le site propose outre une présentation du projet, de la documentation sous forme de fiches de travail, une version limitée de Ocad 7 avec des symboles prédéfinis pour les cartes pour enfants.
La réalisation d'une carte d'orientation
Les cartes d'initiation doivent être très précises (la moindre erreur se voit tout de suite avec une carte possédant une grosse échelle, par exemple, au 1/2000ème, 1 mm correspond à 2m) et fortement représentatives. Un cartographe néophyte peut se lancer dans l'aventure, avec l'aide de ses élèves (en histoire-géo, dans le cadre des Idd, en formation informatique, sous conditions en EPS..., en Eps, l'objectif n'est pas la cartographie)
La première étape consiste à télécharger la version limitée de Ocad, le lien est plus haut. L'exécutable va installer ocad dans un répertoire par défaut (le mieux est de laisser l'exécutable faire ce qu'il propose, si vous installez Ocad sur un réseau, il a besoin d'un répertoire pour les fichiers temporaires).
Une fois le logiciel installé, il n'y a plus qu'à ouvrir ocad et commencer le dessin, enfin presque...
Il faut déjà faire les relevés de terrain ce qui n'est pas une mince affaire. De partir de rien relève du courage, mais il y a déjà beaucoup de données accessibles (le cadastre qu'on peut demander en mairie, et vérifier à qui appartiennent les terrains chez qui on veut envoyer ces chères têtes blondes et demander les autorisations de passage), les photographies aériennes (sur Google Earth, géoportail, ou bien encore depuis les pages jaunes en utilisant le service Mappy), les cartes IGN peu utiles pour des échelles si grosses. Comme base, une copie d'écran sera suffisante, si il y a besoin de plusieurs copies, on pourra les assembler dans the gimp.
Pour les relevés, une planche en bois, une feuille de papier calque, des crayons de couleur, une boussole sont les outils de base pour les relevés.
Les cartes d'initiation doivent être très précises (la moindre erreur se voit tout de suite avec une carte possédant une grosse échelle, par exemple, au 1/2000ème, 1 mm correspond à 2m) et fortement représentatives. Un cartographe néophyte peut se lancer dans l'aventure, avec l'aide de ses élèves (en histoire-géo, dans le cadre des Idd, en formation informatique, sous conditions en EPS..., en Eps, l'objectif n'est pas la cartographie)
La première étape consiste à télécharger la version limitée de Ocad, le lien est plus haut. L'exécutable va installer ocad dans un répertoire par défaut (le mieux est de laisser l'exécutable faire ce qu'il propose, si vous installez Ocad sur un réseau, il a besoin d'un répertoire pour les fichiers temporaires).
Une fois le logiciel installé, il n'y a plus qu'à ouvrir ocad et commencer le dessin, enfin presque...
Il faut déjà faire les relevés de terrain ce qui n'est pas une mince affaire. De partir de rien relève du courage, mais il y a déjà beaucoup de données accessibles (le cadastre qu'on peut demander en mairie, et vérifier à qui appartiennent les terrains chez qui on veut envoyer ces chères têtes blondes et demander les autorisations de passage), les photographies aériennes (sur Google Earth, géoportail, ou bien encore depuis les pages jaunes en utilisant le service Mappy), les cartes IGN peu utiles pour des échelles si grosses. Comme base, une copie d'écran sera suffisante, si il y a besoin de plusieurs copies, on pourra les assembler dans the gimp.
Pour les relevés, une planche en bois, une feuille de papier calque, des crayons de couleur, une boussole sont les outils de base pour les relevés.
Mise au propre des relevés
Il conviendra de reporter proprement tout ce qui est d'actualité sur la photographie et ou sur les bases variées, puis de compléter avec les éléments soit récents, soit trop petits pour être vu sur une photographie aérienne (un pixel fait 50 cm sur les photographies en ligne).
Le dessin doit être le plus propre possible pour pouvoir être bien interprété lors du dessin informatique. Pour une utilisation scolaire, on peut acheter une licence Ocad 9 qui existe en version académique ou encore travailler avec la version 7 "scool" ou encore avec la version 6 qui est gratuite.
Ce dessin est ensuite scanné (300 dpi suffisent) puis rentré à l'ordinateur.
Quelques exemples de résultats ci contre :
Les couleurs changent des cartes d'orientation traditionnelles, les symboles, même si il y a des similitudes sont toutefois plus nombreux et cherchent à se rapprocher du symbolisme enfantin, comme les arbres, les tables...
Sur ce deuxième exemple, on découvre d'autres symboles, comme la cascade (coucou Mr Nacry), mais aussi les tables, les escaliers...
Il conviendra de reporter proprement tout ce qui est d'actualité sur la photographie et ou sur les bases variées, puis de compléter avec les éléments soit récents, soit trop petits pour être vu sur une photographie aérienne (un pixel fait 50 cm sur les photographies en ligne).
Le dessin doit être le plus propre possible pour pouvoir être bien interprété lors du dessin informatique. Pour une utilisation scolaire, on peut acheter une licence Ocad 9 qui existe en version académique ou encore travailler avec la version 7 "scool" ou encore avec la version 6 qui est gratuite.
Ce dessin est ensuite scanné (300 dpi suffisent) puis rentré à l'ordinateur.
Quelques exemples de résultats ci contre :
Les couleurs changent des cartes d'orientation traditionnelles, les symboles, même si il y a des similitudes sont toutefois plus nombreux et cherchent à se rapprocher du symbolisme enfantin, comme les arbres, les tables...
Sur ce deuxième exemple, on découvre d'autres symboles, comme la cascade (coucou Mr Nacry), mais aussi les tables, les escaliers...
|
|
|
|
|
